Séance avec F., essentiellement des nus et quelques portraits pour finir; j'aime beaucoup la couleur de sa peau avec le soleil. On étreine mon ukulélé comme accessoire photographique, plutôt pas mal. Mais faire des photos chez moi a de moins en moins d'intérêt.
Je vais poster deux lettres, pour demander la participation à mes photos de deux jeunes romanciers: J.-E. B. et D. von G. A suivre.
A la Médiathèque j'emprunte des partitions (Poulenc, Milhaud, Prokofiev).
E. m'apprend qu'il n'est probablement plus disponible pour la séance prévue demain, il doit me tenir au courant. Je préfère annuler pour cette fois, je ne tiens pas à passer la journée à attendre en vain.
dimanche 25 février 2007
Mercredi 21-02-07: bis repetita placent?
Je tente de reprendre rendez-vous avec S., manequin-modèle semi-professionnel qui m'avait contacté il y a un ou deux mois pour que je le fasse poser: il trouvait mon travail différent de ce qu'il avait fait, se disait très motivé, etc. Mais à chaque fois qu'on avait eu la possibilité de se rencontrer pour discuter des photos à faire, aucune nouvelle. Là le minable me répond avec bonhomie (mais se dit désolé) qu'il ne fait plus de photos sans se faire payer. Pourquoi m'avoir contacté alors?
Mardi 20-02-07: ciné-S.-sushis-sms
"Inland Empire" de David Lynch, séance à 9h30 avec S. Film lourd mais fascinant, oppressant mais ailleurs, sans aucune ligne de contour, tout dans la fuite. On se rattrape comme on peut. Mon hypothèse: Nikki-Sue (Laura Dern) au fil de sa course oniro-cinémato-psychotique, fait disparaître dans un espace virtuel accessible depuis le présent l'assassin du couple polonais tué dans le passé (dont l'histoire s'était répétée de façon parasite auprès de plusieurs femmes successives jusqu'à Nikki elle même)... et donc annule retro-activement le meurtre originel... non? En résumé, tous les morceaux de scènes, toutes les actrices, une seule histoire ressassée jusqu'à ce qu'elle se déroule enfin bien - j'ai l'impression d'être dans un de mes rêves à clés.
Je regrette un peu que le film soit tourné en numérique, même si sa photographie est impeccable. On verra bien quelle influence ça aura sur mes prochaines photos. Après avoir vu "Elephant" de Gus Van Sant, j'étais captivé par les nuques et les gens de dos.
12h30, je raccompagne S. chez lui, on déjeune, il range, on discute. Sur internet, j'apprends que j'ai enfin remporté l'un des harmonicas à 1€, il suffisait d'être patient. Prochaine étape, un nouvel appareil photo? Il me faudrait aussi un disque dur externe, une télécommande pour le futur appareil photo, des objectifs, etc etc... et des masques d'animaux (cf. Lynch).
17h, on part retrouver C., café rapide, puis je les abandonne - ils vont à la piscine - et je récupère E. Passage-éclair chez elle, puis on file direction les Halles, diner japonais avec J., E., F., C. et S.
0h10, sms de P., j'ai oublié son anniversaire, mais je n'avais plus de réponse de sa part depuis novembre ou décembre. Etrange, comme toujours.
Je regrette un peu que le film soit tourné en numérique, même si sa photographie est impeccable. On verra bien quelle influence ça aura sur mes prochaines photos. Après avoir vu "Elephant" de Gus Van Sant, j'étais captivé par les nuques et les gens de dos.
12h30, je raccompagne S. chez lui, on déjeune, il range, on discute. Sur internet, j'apprends que j'ai enfin remporté l'un des harmonicas à 1€, il suffisait d'être patient. Prochaine étape, un nouvel appareil photo? Il me faudrait aussi un disque dur externe, une télécommande pour le futur appareil photo, des objectifs, etc etc... et des masques d'animaux (cf. Lynch).
17h, on part retrouver C., café rapide, puis je les abandonne - ils vont à la piscine - et je récupère E. Passage-éclair chez elle, puis on file direction les Halles, diner japonais avec J., E., F., C. et S.
0h10, sms de P., j'ai oublié son anniversaire, mais je n'avais plus de réponse de sa part depuis novembre ou décembre. Etrange, comme toujours.
Samedi 17-02-07:
Le ukulélé arrive. Le concierge râle parce qu'il est monté trois fois pour me donner le colis, et à chaque fois il n'y avait personne... étant donné que je me suis levé tôt et que je ne suis pas sorti de la matinée, j'ai quelques doutes.
Plus tard devant Beaubourg, un visiteur affirme qu'Ils auraient mieux fait d'utiliser un revêtement en inox. "L'année dernière ils ont fermé pendant 3 mois pour tout repeindre." Personnellement, j'ai manqué ça, ça devait être au mois d'août.
Je trouve le livre que je cherchais pour l'anniversaire de J., sur Banksy.
Après-midi minimaliste (comprendre: je ne fais rien).
Et donc, anniversaire de J., à la maison des X, très bonne soirée, mais j'ai quand même l'impression d'être dans un autre monde. Je suis déguisé en garçon chic qui a fait un effort vers le cool, alors que je suis au maximum du classique.
Plus tard devant Beaubourg, un visiteur affirme qu'Ils auraient mieux fait d'utiliser un revêtement en inox. "L'année dernière ils ont fermé pendant 3 mois pour tout repeindre." Personnellement, j'ai manqué ça, ça devait être au mois d'août.
Je trouve le livre que je cherchais pour l'anniversaire de J., sur Banksy.
Après-midi minimaliste (comprendre: je ne fais rien).
Et donc, anniversaire de J., à la maison des X, très bonne soirée, mais j'ai quand même l'impression d'être dans un autre monde. Je suis déguisé en garçon chic qui a fait un effort vers le cool, alors que je suis au maximum du classique.
Vendredi 16-02-07: séance avec N. (encore un autre)
Portraits en intérieur, bonne lumière. A l'aise et très photogénique.
Jeudi 15-02-07: Saint-Denis, nouvelle tentative
Rendez-vous chez Y., qui m'attend comme la dernière fois à la station du RER B. Arrivé à Gare du Nord, je saute dans le train prêt à partir. Et quelques minutes après, je vois la gare de Saint-Denis me passer devant les yeux... train direct pour Roissy, eh oui. Je reviens enfin à Saint-Denis avec 1h de retard.
Epilogue e-bay: la mandoline a trop augmenté. Le second harmonica a également augmenté, je tente le 3e de la série.
Diner avec M. et J.
Epilogue e-bay: la mandoline a trop augmenté. Le second harmonica a également augmenté, je tente le 3e de la série.
Diner avec M. et J.
Mercredi 14-02-07: séance avec N. (un autre) - macros corporelles
Débuts hésitants, puis tout va bien. 2h de séance. Je fais le tri dans les photos dès la fin de journée.
20h30 - "On purge bébé" - théâtre Ménilmontant - compagnie Sarben - tout en rouge - drôle et très rythmé.
Puis "Blue Velvet" de Lynch sur Arte.
20h30 - "On purge bébé" - théâtre Ménilmontant - compagnie Sarben - tout en rouge - drôle et très rythmé.
Puis "Blue Velvet" de Lynch sur Arte.
Mardi 13-02-07: e-baying - next
Séance avec N.
Bibliothèque + soldes avec E. Il ne reste plus que des chaussettes et des caleçons. E-bay sur le pc d'E. Concurrence sur la mandoline. L'harmonica n'est plus à 1€, j'enchéris sur son jumeau.
Bibliothèque + soldes avec E. Il ne reste plus que des chaussettes et des caleçons. E-bay sur le pc d'E. Concurrence sur la mandoline. L'harmonica n'est plus à 1€, j'enchéris sur son jumeau.
Lundi 12-02-07: nouveau site + e-baying
Pc réinstallé. Et quelques photos en place sur http://nicolaslemoal.artfaceoff.com.
Passage sur e-bay. Je suis l'heureux futur acquisiteur d'un ukulélé. Option mise sur une mandoline et un harmonica. Retour à Paris, train de 15h33. Dans le train j'écris un nouveau texte, "Waiting for Arizona to happen" griffonné sur un morceau de papier:
"(...)
à cette époque j'étais occidental
je voulais toucher à chaque coin du monde
mais j'étais au milieu de la terre plate
et l'horizon ne se rapprochait pas
j'attendais
je sentais qu'il arrivait
je mettais les mains devant les yeux / je le voyais déjà entre mes doigts
on jouait
il fallait qu'il arrive
j'étais le seul à savoir l'emplacement exact
on allait rester là pour toujours / et regarder le ciel tourner autour de nous
j'attendais
j'attendais (...)"
J'en profite pour réorganiser le programme du 3e recueil. "U again" disparait au profit de "My self"; "Like so many knives", simplement "Knives". Et je complète avec de nouveaux sous-titres. L'ossature se reconstruit progressivement.
Et début d'un second recueil librement inspiré de Radiohead:
"(...)
my fragile balancing on the tiles
& above me the world was spinning
my chilling hands
my world in a gleaming box
shut tight
manymanymanymanymanymanymanymanymanymanyvoicesagain"
(extrait de "Man-antenna (channeling)")
Passage sur e-bay. Je suis l'heureux futur acquisiteur d'un ukulélé. Option mise sur une mandoline et un harmonica. Retour à Paris, train de 15h33. Dans le train j'écris un nouveau texte, "Waiting for Arizona to happen" griffonné sur un morceau de papier:
"(...)
à cette époque j'étais occidental
je voulais toucher à chaque coin du monde
mais j'étais au milieu de la terre plate
et l'horizon ne se rapprochait pas
j'attendais
je sentais qu'il arrivait
je mettais les mains devant les yeux / je le voyais déjà entre mes doigts
on jouait
il fallait qu'il arrive
j'étais le seul à savoir l'emplacement exact
on allait rester là pour toujours / et regarder le ciel tourner autour de nous
j'attendais
j'attendais (...)"
J'en profite pour réorganiser le programme du 3e recueil. "U again" disparait au profit de "My self"; "Like so many knives", simplement "Knives". Et je complète avec de nouveaux sous-titres. L'ossature se reconstruit progressivement.
Et début d'un second recueil librement inspiré de Radiohead:
"(...)
my fragile balancing on the tiles
& above me the world was spinning
my chilling hands
my world in a gleaming box
shut tight
manymanymanymanymanymanymanymanymanymanyvoicesagain"
(extrait de "Man-antenna (channeling)")
vendredi 9 février 2007
Vendredi 09-02-07:
Je passe chez C. et S., pour lire mes mails. Rien de fondamental sur mes messageries.
Après-midi de rangement. Je voulais rencontrer M-K (www.kerbaj.com), de passage à Paris pour une séance de signature dans une librairie près de chez moi. Mais à la même heure, je suis dans le métro pour rejoindre Gare du Nord.
Train pour Chauny (02) à 17h40. Quelques photos du paysage sous les nuages.
Pendant le trajet, je fouille une pochette où je savais avoir glissé des brouillons de textes: je retrouve la liste complète des textes prévus pour le 3e recueil, et de nombreux fragments. Grand soulagement. De mémoire, je n'avais retrouvé que 2/3 des titres, et pratiquement rien du corps des textes.
Depuis décembre (fin du 2e recueil), l'envie d'écrire était restée assez absente. Son retour est progressif, mais réel - bien sûr, je n'ai pas tenu le rythme d'un poème par soir...
Cer derniers temps, chaque nuit, rêves cycliques, très complexes, et jamais reposants. Fatigue au réveil, identique à celle du coucher. Je rêvais en boucle. Je comprenais que je devais exécuter les éléments du rêve dans un ordre précis, et tant que ce n'était pas réalisé, le rêve reprenait depuis le début. Maintenant que je me remets à écrire - il me semble - tout cela est évacué différemment.
Après-midi de rangement. Je voulais rencontrer M-K (www.kerbaj.com), de passage à Paris pour une séance de signature dans une librairie près de chez moi. Mais à la même heure, je suis dans le métro pour rejoindre Gare du Nord.
Train pour Chauny (02) à 17h40. Quelques photos du paysage sous les nuages.
Pendant le trajet, je fouille une pochette où je savais avoir glissé des brouillons de textes: je retrouve la liste complète des textes prévus pour le 3e recueil, et de nombreux fragments. Grand soulagement. De mémoire, je n'avais retrouvé que 2/3 des titres, et pratiquement rien du corps des textes.
Depuis décembre (fin du 2e recueil), l'envie d'écrire était restée assez absente. Son retour est progressif, mais réel - bien sûr, je n'ai pas tenu le rythme d'un poème par soir...
Cer derniers temps, chaque nuit, rêves cycliques, très complexes, et jamais reposants. Fatigue au réveil, identique à celle du coucher. Je rêvais en boucle. Je comprenais que je devais exécuter les éléments du rêve dans un ordre précis, et tant que ce n'était pas réalisé, le rêve reprenait depuis le début. Maintenant que je me remets à écrire - il me semble - tout cela est évacué différemment.
Jeudi 08-02-07: 2e séance avec A.
Le soleil disparaît rapidement. Très mauvaise lumière. En début d'après-midi, j'étais passé chez Liroï-Merlin pour trouver des néons, mais rien de ce que j'espérais.
Je poursuis mes tentatives de portraits de A., qui m'échappe encore pour le moment. La prochaine fois sera la bonne, je pense. On doit reporter certaines photos, il faut plus de soleil. On passe la fin d'après-midi a discuter.
Le soir, dîner aux Marronniers. Dans le métro, je reçois un message de X., qui m'invite à une soirée. Mais je ne suis pas à Paris ce week-end.
Je poursuis mes tentatives de portraits de A., qui m'échappe encore pour le moment. La prochaine fois sera la bonne, je pense. On doit reporter certaines photos, il faut plus de soleil. On passe la fin d'après-midi a discuter.
Le soir, dîner aux Marronniers. Dans le métro, je reçois un message de X., qui m'invite à une soirée. Mais je ne suis pas à Paris ce week-end.
Mercredi 07-02-07: séance avec F.
Nouvelle série, très anatomique. F. toujours très patient. J'attends de réinstaller photoshop ce week-end pour pouvoir tout retravailler.
Le soir, dîner chez M.
Le soir, dîner chez M.
Lundi 06-02-07:
Visite chez Y. On s'est déjà vus la veille, chez moi, pour discuter et se montrer nos dernières séances respectives. Aujourd'hui, il me prête son portable, et me laisse squatter sa connexion internet.
Comme prévu, je me crée un nouveau profil, sur artfaceoff.com. Site gratuit, internation. Nombre de photos plus réduit. Je pense y mettre les photos les plus récentes, de façon moins organisée que sur book.fr: ici, pas de présentation par séries, chaque photo sera plus autonome.
Le site est plutôt complet, on peut (et même on nous convie à) remplir sa notice (auto-)biographique; ainsi qu'une rubrique "art statement" - après recherche sur le site, je comprends que c'est là qu'on explique son travail. Je réfléchirai à ça plus tard.
Je tente de rapatrier des photos depuis un autre profil, mais la manoeuvre s'avère finalement impossible, c'est protégé. Je pars bredouille, il n'y a que mon nom sur le nouveau site, pas de texte, pas d'image.
Quelques photos faites sur le trajet, en attendant mon RER a Nation: je photographie discrêtement les jambes des usagers qui passent devant moi. Notamment une femme en jupe longue bleu marine, avec son cabas, qui s'arrête sur le quai exactement devant moi.
Y. m'a donné rendez-vous à l'arrêt du RER B. Bien entendu, j'ai pris le RER D.
Le soir, séance d'autoportraits, lumière bleue très faible, long temps de pause, et masque à gaz prêté par Y. So chic.
Comme prévu, je me crée un nouveau profil, sur artfaceoff.com. Site gratuit, internation. Nombre de photos plus réduit. Je pense y mettre les photos les plus récentes, de façon moins organisée que sur book.fr: ici, pas de présentation par séries, chaque photo sera plus autonome.
Le site est plutôt complet, on peut (et même on nous convie à) remplir sa notice (auto-)biographique; ainsi qu'une rubrique "art statement" - après recherche sur le site, je comprends que c'est là qu'on explique son travail. Je réfléchirai à ça plus tard.
Je tente de rapatrier des photos depuis un autre profil, mais la manoeuvre s'avère finalement impossible, c'est protégé. Je pars bredouille, il n'y a que mon nom sur le nouveau site, pas de texte, pas d'image.
Quelques photos faites sur le trajet, en attendant mon RER a Nation: je photographie discrêtement les jambes des usagers qui passent devant moi. Notamment une femme en jupe longue bleu marine, avec son cabas, qui s'arrête sur le quai exactement devant moi.
Y. m'a donné rendez-vous à l'arrêt du RER B. Bien entendu, j'ai pris le RER D.
Le soir, séance d'autoportraits, lumière bleue très faible, long temps de pause, et masque à gaz prêté par Y. So chic.
mardi 6 février 2007
Dimanche 04-02-07: Première séance avec J-G
Séance de 3h. Excellente lumière, excellent modèle, excellente journée.
Ensuite, visite de l'expo sur les plantes tropicales à l'espace Edf-Electra, avec M. et J. A voir.
Ensuite, visite de l'expo sur les plantes tropicales à l'espace Edf-Electra, avec M. et J. A voir.
Samedi 03-02-07:
Le matin, j'accompagne C. dans des épiceries chinoises et japonaises; puis je file retrouver M. et J. pour des photos-souvenirs le long du canal St-Martin et dans le 10e.
Premier jour de grand soleil depuis le début de l'année - il me semble -, idéal pour se promener.
Premier jour de grand soleil depuis le début de l'année - il me semble -, idéal pour se promener.
Vendredi 02-02-07: Marre des modèles qui se prennent pour des stars du porno gay
En fin de journée, séance stérile avec R. Le courant ne passe pas vraiment, je le laisse parler, je le laisse poser. Par chance, je ne suis pas son genre, il se contente de ça.
Je fais ses photos, je fais mon travail; j'aurais dû discuter davantage avant et éviter la séance; après tout, c'est moi qui l'avais contacté.
Il ne peut rester qu'une heure, il termine encore par un exposé politique, juste comme ça. Il parle. Si j'interviens, si je réponds, si je dis quelque chose, il ne le remarque pas.
Je rate une séance par an, en moyenne Je veux dire: une fois par an, il y a une séance qui n'est rien de plus ni de moins qu'une erreur, un mauvais choix que je ne dois qu'à moi-même; là je devrais être tranquille pour les 10 prochains mois.
Il me propose pourtant de revenir poser un jour, j'évite de répondre. Je crois que je suis trop diplomate.
Je fais ses photos, je fais mon travail; j'aurais dû discuter davantage avant et éviter la séance; après tout, c'est moi qui l'avais contacté.
Il ne peut rester qu'une heure, il termine encore par un exposé politique, juste comme ça. Il parle. Si j'interviens, si je réponds, si je dis quelque chose, il ne le remarque pas.
Je rate une séance par an, en moyenne Je veux dire: une fois par an, il y a une séance qui n'est rien de plus ni de moins qu'une erreur, un mauvais choix que je ne dois qu'à moi-même; là je devrais être tranquille pour les 10 prochains mois.
Il me propose pourtant de revenir poser un jour, j'évite de répondre. Je crois que je suis trop diplomate.
Jeudi 1er-02-07:
Dans l'après-midi, première séance avec A., retardée, écourtée, empêchée, mais quand même prometteuse pour les sessions suivantes.
L'ascenseur de la station Châtelet, qui a priori m'intéressait seul, était en panne. Puis à St-Eustache, service funéraire. A St-Merri, trop sombre et inadéquat. On se rabat sur des extérieurs, et c'est aussi bien malgré le ciel grisâtre.
Le soir, 1er texte, comme prévu.
L'ascenseur de la station Châtelet, qui a priori m'intéressait seul, était en panne. Puis à St-Eustache, service funéraire. A St-Merri, trop sombre et inadéquat. On se rabat sur des extérieurs, et c'est aussi bien malgré le ciel grisâtre.
Le soir, 1er texte, comme prévu.
Mercredi 31-01-07: Demain, nouveau projet d'écriture
Avec un peu de chance et d'autodiscipline, demain j'entame, en parallèle avec le recueil qui vient de reprendre son cours, un nouveau projet avec un texte, sur une page, par jour (on peut toujours espérer). Pas de titre encore.
Le projet devait s'étendre à travers tout décembre. Même report en janvier. Finalement février, avec ses 28 jours, correspond mieux à ma paresse naturelle.
J'écris habituellement une trentaine de textes par an, je sors 28 feuilles ce soir, en prévision. On verra si je tiens le rythme.
Projet vague de collectif, aussi. Juste une idée.
Et nouveau book virtuel à construire, qui sera dédié aux clichés les plus récents.
Et ce blog qui repart, on n'y croyait pas vraiment.
Le projet devait s'étendre à travers tout décembre. Même report en janvier. Finalement février, avec ses 28 jours, correspond mieux à ma paresse naturelle.
J'écris habituellement une trentaine de textes par an, je sors 28 feuilles ce soir, en prévision. On verra si je tiens le rythme.
Projet vague de collectif, aussi. Juste une idée.
Et nouveau book virtuel à construire, qui sera dédié aux clichés les plus récents.
Et ce blog qui repart, on n'y croyait pas vraiment.
Mardi 30-01-07: Annulations
2 séances prévues, donc 2 séances annulées, QED.
Les raisons: excès de fatigue pour le 1er modèle; manque de temps libre pour le second.
A force, on ne dit plus rien.
Les raisons: excès de fatigue pour le 1er modèle; manque de temps libre pour le second.
A force, on ne dit plus rien.
Lundi 29-01-07: Remise en route
Un certain manque de courage, pour tout relancer.
Etant très organisé dans la création, ou plutôt le plus organisé possible - en amont - pour que la création soit la plus libre possible.
Et donc manque de courage pour recréer les listings, les espaces informatiques prévus pour la gestion des différents projets.
Etant très organisé dans la création, ou plutôt le plus organisé possible - en amont - pour que la création soit la plus libre possible.
Et donc manque de courage pour recréer les listings, les espaces informatiques prévus pour la gestion des différents projets.
Lundi 29-01-07: Remise en route
Un certain manque de courage, pour tout relancer.
Etant très organisé dans la création, ou plutôt le plus organisé possible - en amont - pour que la création soit la plus libre possible.
Et donc manque de courage pour recréer les listings, les espaces informatiques prévus pour la gestion des différents projets.
Etant très organisé dans la création, ou plutôt le plus organisé possible - en amont - pour que la création soit la plus libre possible.
Et donc manque de courage pour recréer les listings, les espaces informatiques prévus pour la gestion des différents projets.
Samedi 27-01-07: Renaissance
Virus informatique, ordinateur vidé de toutes ses entrailles, disparition des derniers clichés, des textes les plus récents....
Heureusement, les pertes sont assez réduites, je vais devoir faire le point sur les derniers travaux.
Pour les photos, des doubles à récupérer; seulement 3-4 séances qui vont disparaître définitivement. Quelques photos plus occasionnelles qui seront difficiles - voire impossible - à reproduire.
Pour les textes, le nouveau recueil n'avait encore que son ossature (les titres des textes, et quelques fragments très sommaires): avec ma petite mémoire, le nouveau résultat sera très différent.
Heureusement, les pertes sont assez réduites, je vais devoir faire le point sur les derniers travaux.
Pour les photos, des doubles à récupérer; seulement 3-4 séances qui vont disparaître définitivement. Quelques photos plus occasionnelles qui seront difficiles - voire impossible - à reproduire.
Pour les textes, le nouveau recueil n'avait encore que son ossature (les titres des textes, et quelques fragments très sommaires): avec ma petite mémoire, le nouveau résultat sera très différent.
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